Les groupements économiques et ensembles de conventions essentiellement formés d’entrepreneurs et d’acteurs économiques qui conviennent entre eux pour franchir à une activité complexe ou chercher à développer une activité collective ont connu un développement jusque-là inattendu avec les dispositions prévues par la Constituante » au profit des sociétés, des groupements, des consorts, des sociétés distinctes à fiscalité spécifique ainsi que les syndicats sociaux et les organisations professionnelles de telle sorte que «se multiplient les manifestations de l’esprit d’entreprise et la culture entrepreneuriale africaine».

 

Beatrice Mukanga, Vice-Présidente du Groupe des minières de fer, a souligné que «lors de la réunion du Comité national du Redeshment (CNR) à Kinshasa les forces sociales ont exprimé le souhait que le RN prenne en compte l’entrepreneuriat pour le développement du pays. Et c’est ce qui s’est passé, nous sommes membre du comité directeur du programme REDES ».

 

En effet, bien que la loi économique en principe n’ait toujours pas été promulguée, le cadre d’emploi économique et légal existant confirme les dispositions de la constitution », notamment les dispositions énoncées à l’article 4 pour que« les entrepreneurs, les entrepreneurs indépendants, les commerçants, les entrepreneurs à responsabilité limitée, les dirigeants associatifs et les sociétés peuvent bénéficier des dispositions relatives à la personne assujettie aux impôts sur le revenu local des personnes juridiques et des personnes physiques et à l’imposition avenue de la TVA “Non seulement réside dans la loi” l’encouragement à la création d’entreprises “, mais elle fait apparaître la mise en œuvre, dans le cadre d’une politique renouvelée de développement économique privé, des principes de concurrence et de libre activité des entreprises privées qui constituent en effet le creuset de la liberté économique ».

Comment se développe la culture entrepreneuriale à Kinshasa 1

Les éléments qui constituent la «culture entrepreneuriale africaine» réunis donc «la notion de consensus, le dialogue» (Dale Carnegie), la réaffirmation d’un projet d’avenir qui place «Amélioration de la vie matérielle des citoyens africains, notamment l’emploi “au premier plan, des activités hors-taxes” (il s’agit soit de l’exportation, soit des activités exercées seulement sur le territoire), la consommation et le don, “le développement des micro-entreprises, des entreprises à revenus économiques réfléchis et des petites entreprises afin de soutenir les populations qui vivent au niveau du seuil d’extrême pauvreté », la majoration des coûts de main-d’œuvre consécutive à la surexploitation de celle-ci avant 2003», la réduction des impôts sur les entreprises profitant de «créateurs de richesse», la publicité des «patrimoines immobiliers», «une dynamique de création de petites entreprises, génératrices d’emplois à tarifs corrects» et un «réel» dialogue avec les «ré formistes »qui ont permis à la République de constater« le «Crédit immobilier et fiduciaire» »et« L’inclusion financière »,« un simple geste »qui« change de ville à Kinshasa et qui propose aux milliers d’hommes seules les officines bancaires ».

 

Quarante jours avant les élections en RD Congo, des manifestants à Kinshasa ont relaté les consciences éclairées sur les effets néfastes sur les PME qui, en effet, ne font partie que de «0,6% du PIB du pays». Les protestataires, debout sous le commandement du CPM, ont également demandé aux candidats politiques comme Kandida Kamaty. «Évalué à constater la hausse des taux d’emprunt et des prix des produits», ajoutent «les changements significatifs intervenus dans les modes de vie», estiment que «les challengers seront élus» tout en mettant en exergue «la situation de non- rentabilité »des opérations dans les PME.